
Selon le ministre de l’Industrie et des Mines, Ferhat Ait Ali Braham, le nouveau cahier des charges régissant l’industrie automobile en Algérie n’obligera pas les investisseurs étrangers de s’associer à un partenaire local mais leur imposera un apport financier et technologique.
Le ministre a fait savoir que le prochain cahier de charges qui sera établi par son département posera des exigences aux investisseurs étrangers telles qu’une implication financière à travers « un investissement majoritaire si nécessaire ».
Les pouvoirs publics travailleront également afin de permettre aux opérateurs de l’industrie automobile existant en Algérie de « s’intégrer dans les clauses du nouveau cahier de charges ». Mr le ministre ajoute aussi : »Nous n’obligerons pas l’investisseur de s’associer à un partenaire national mais on lui imposera d’apporter le financement et le savoir faire ».
Le nouveau cahier de charge, imposera la réalisation initiale de certains équipements tels que le carrossage afin d’avoir dès le début une coque et un châssis algériens.