Vers une prorogation des délais de paiement des vignettes automobiles, fixé cette année du 2 juin au mercredi 31 juillet 2019, à 16h, le scenario ne semble pas comme à l’accoutumée, où les recettes des impôts et les bureaux de postes, sont pris d’assaut par des centaines de retardataires, craignant de tomber sous l’effet des pénalités fixées par la Direction générale des impôts (DGI). C’est ce que nous avons vérifié, lors de notre virée sur le terrain.
Face à cette situation, les pouvoirs publics, envisagent-ils une éventuelle prorogation, comme cela a été lors des années précédentes ? Pour le moment, on n’est pas encore là mais, la Direction générale des impôts (DGI), n’a pas manqué de rappeler, pour une énième fois, dans un communiqué,les propriétaires de véhicules, à s’acquitter de leurs vignettes avant la date butoir, tout en soulignant que, « tous les moyens demeurent mobilisés,pour le bon déroulement de cette opération entamée le 2 juin dernier, tant auprès des recettes des impôts qu’auprès des bureaux de postes ».
Et de mettre en garde, que « toute vignette achetée, non conforme au tarif légal, entraîne systématiquement le retrait de la carte d’immatriculation, qui ne sera restituée qu’après présentation d’une vignette conforme majorée d’une amende de 100% », signale la DGI, qui invite les automobilistes à s’assurer du tarif légal de la vignette avant son acquisition. Pour rappel, cette année, les prix des vignettes restent inchangés par rapport à 2018, selon la même source.
Au cours des années passées, rappelons le, les prix de la vignette étaient établis en fonction de la puissance de motorisation du véhicule et de son ancienneté. En 2018, une fourchette de 500 à 3.000 DA est imposée pour les véhicules ayant plus de 10 ans d`âge, de 1.000 à 4.000 DA pour ceux dont l`âge varie entre 6 et 10 ans et de 1.500 à 6.000 DA, pour les 3 à 6 ans. Les véhicules ayant moins de 3 ans sont imposés d’une vignette, dont le prix oscille entre 2.000 et 10.000 DA.
Les véhicules à immatriculation spéciale appartenant à l’Etat et aux Collectivités locales (communes, daïras, wilayas), et les véhicules dont les propriétaires bénéficient de privilèges diplomatiques ou consulaires, sont toutefois exemptés la vignette automobile. Cette exonération touche également les ambulances, les véhicules équipés de matériels sanitaires, les véhicules équipés de matériel de lutte anti-incendie, les véhicules destinés aux handicapés et les véhicules équipés d’un carburant GPL/C.
Les tracteurs et autres engins agricoles, les véhicules à moins de (4) roues (motocyclettes, vélomoteurs…), les engins à travaux publics ou encore, les remorques, ne sont pas concernés par la vignette automobile. A noter, que la vignette automobile a été instaurée à titre provisoire en 1998, au temps de la crise économique et n’a pas été supprimée au temps de l’opulence. Une part de 20% de ces recettes est versée au Trésor public, et 80% au Fonds commun des Collectivités locales.
Un bilan de la Protection civile a indiqué que sept (7) personnes sont décédées et 390 autres ont été blessées dans plusieurs accidents de la circulation survenus à travers le territoire national durant les dernières 48 heures.
+Le parc automobile de l’Algérie comptait plus de 6,5 millions de véhicules à la fin de l’année 2019, contre plus de 6,4 millions en 2018, soit une hausse de 2,47%, a appris mercredi l’APS auprès de l’Office national des statistiques (ONS).
Le parc roulant national était fort de 6.577.188 véhicules en 2019 contre 6.418.212 véhicules à la fin de l’année 2018, soit une hausse de 158.976 unités (2,47%), a précisé …
+Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a fait état mercredi depuis Hassi R’mel (Laghouat), de la conversion, en 2020, au Gaz de pétrole liquéfié carburant (GPLc) de 34% du parc automobile -essence- des administrations et établissements publics.
« Déterminée à élargir l’utilisation du GPLc, l’Algérie avance à un rythme accéléré vers la réalisation de l’autosuffisance en carburant, en témoigne le non recours à son importation depuis juillet 2020 », a déclaré M. Djerad, …
+Un bilan des services de la Sûreté nationale a indiqué que neuf (09) personnes ont trouvé la mort et 483 autres ont été blessées dans 405 accidents de la circulation survenus en zones urbaines durant la période allant du 16 au 22 février.
Le nombre de morts a augmenté de 2 cas, celui des blessés de 55 cas et celui des accidents de la circulation de 44 cas.
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donc, c toujours le simple citoyen qui doit payer, c a celui qui l’a instauré qui doit payer pour tout le monde pendant dix ans.,c la logique.
Ont paye chaque année cette vignette qui ne sert à rien nos route sont endommagées cassées !!! Franchement je ne sais où sa part cette argent injustifié ??? Malheureusement l’argent du peuple détourner par une mafia allah ijib el Kheir pour ce grand payé
La vignette n’as jamais été instaurée d’une façons provisoire , elle existait depuis les années 60 , probablement depuis avant l’indépendance et existe dans le monde entier.
Peut être qu’elle a été supprimée d’une façon temporaire pour une courte période.
Pourquoi cette désinformation et dans quel but !!! ?
L’argent de cette vignette doit servir à l’entretien des routes qui sont dans un état déplorable. Alors pourquoi la payer? Les algériens devraient s’entendre pour ne plus la payer! Salutations.
La vignette est une crime contre les citoyens instaurée par le criminel ouyahia